Les pires tubes de l’été en 20 chansons
11. Aserejé – Las Ketchup – 2002
Cette chanson très populaire à donné lieu à de nombreuses légendes urbaines sur le sens de la chanson, certaines on même prétendu que c’était une chanson diabolique.
10 années plus tard, une explication arrive, Aserejé raconte l’histoire de Diego, un soir de fête, où il avait consommé beaucoup de substance. Bref, Diego arrive donc dans un état second à la discothèque, vient le moment où le dj passe sa chanson préférée, et on sait tous que lorsqu’on chante bourré …
Ah oui, sa chanson préférée c’était Rapper’s delihgt par Sugarhill Gang.
« I said a hip hop,
The hippie to the hippie
The hip hip a hop, and you don’t stop, a rock it
To the bang bang boogie, say up jump the boogie,
To the rhythm of the boogie, the beat.«
Ce qui donne
« Aserejé, ja deje tejebe tude jebere
Sebiunouba majabi an de bugui an de buididipí«
12. Dragostea Din Tei – O-zone – 2003
On laisse de côté l’exotisme latino ou les rythmes africains, direction la Moldavie. Avec « Dragostea Din Tei« , le groupe O-zone a été en tête des charts européens durant 3 semaines.
Ils se sont séparés en 2005.
13. Allez, Ola, Ole – Jessy Matador – 2010
Et hop, une petite chanson de l’Eurovision et aussi un hymne de la FIFA world cup 2010.
Alors oui, la chanson de Jessy Matador n’a eu la première place des classements musicaux qu’en France, mais il a eu aussi l’une des vidéos les plus vues de l’Eurovision cette année-là.
14. Mignon mignon – René la Taupe – 2010
Humour à base de pets, sonnerie de téléphone, qui aurait cru que cela donnerait un tube de l’été et atteindrait la première place du Top 50.
15. Matt Pokora – A nos actes manqués – 2011
Allez, reprenons donc un grand succès de Jean Goldman, oui une reprise c’est ça, même si le texte est triste à l’origine, ce n’est pas grave, cela passera si on le met sur des images festives.
On y ajoute des petits sons bien sentis, ambiance zouk, des belles images des Antilles, un mélange qui a plu aux plus jeunes, mais qui donne surtout envie vite vite d’écouter l’original sans fioritures par le trio Fredericks Goldman Jones